Bon à savoir



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Les techniques pour gérer son stress à l’oral face à sa classe

Clémence Millet

Mains moites, respiration difficile, cœur qui bat la chamade… c’est à votre tour de passer l’épreuve orale. Si pour vous c’est une réelle souffrance, voici nos conseils pour déstresser et arrêter de vivre ce moment comme une torture.
"C'est l'angoisse ! À chaque fois que je passe à l'oral pour un exposé, un examen ou quand le prof m'interroge, je tremble, j'ai une boule au ventre et ma voix part en sucette. Ça me pourrit la vie. Du coup, je ne participe jamais de peur d'être ridicule", confie tristement Valentine, en première ES dans un lycée de l'Oise.
Ces "symptômes" liés au stress et à une hyperémotivité sont courants chez les étudiants, quel que soit leur âge. "Confrontés au regard des autres et à la peur de se tromper, nombre d'entre eux ne maîtrisent guère leurs émotions à l'oral." explique Anne, professeure d'anglais dans un lycée nantais. Ancienne angoissée, elle connaît très bien ce phénomène et nous donne ses conseils pour que timides maladifs et anxieux chroniques libèrent enfin leur prise de parole.

Évacuez le stress...

... avec une bonne préparation. Car, selon Anne, ce qui vous stresse le plus en général, c'est l'inconnu et la peur de vous tromper. Alors, faites-vous des fiches. Entraînez-vous devant la glace, en vous filmant et face à un tiers. Cela vous aidera à accepter votre image même dans l'erreur.
Une fois que vous êtes au point, il faut vous faire plaisir et décompresser ! Un ciné, une balade en forêt, du shopping... Relisez vos cours avant de dîner, mais pas juste avant de dormir ni juste avant une épreuve. Et surtout, couchez-vous tôt pour être reposé et en pleine possession de vos moyens.

Ne vous préoccupez pas (trop) des autres

Fuyez les anxieux ! C'est connu, le stress est contagieux. N'écoutez pas ceux qui ressortent d'une épreuve. Leur ressenti souvent injustifié risque de vous déstabiliser. Écoutez plutôt de la musique.
Lorsque vous vous exprimez en classe, balayez du regard l'ensemble de la salle, recommande la professeure, ne vous focalisez pas sur un élève. Acceptez de rougir, ce sont de belles couleurs, beaucoup plus touchantes que ridicules, comme vous persistez à le croire. Ayez confiance en vous ! Adoptez un look qui vous rassure (rien de trop serré par exemple). Et, en dernier recours, utilisez l'humour pour vous protéger des réflexions vaseuses que vous pourriez entendre.

Prenez le temps de respirer


C'est quand votre plexus se bloque que votre voix se met à trembloter et que votre cerveau, moins bien irrigué, paraît subitement avoir effacé tout ce que vous saviez. Une bonne respiration abdominale est fondamentale pour n'importe quelle prise de parole en public. C'est elle qui permet de se libérer des tensions, de gérer son trac et ainsi d'exposer le plus clairement possible sa pensée. Ainsi, Anne préconise d'inspirer par le nez, en gonflant son ventre et non pas son torse, et d'expirer dix secondes au minimum avec la bouche. Pour cela, entraînez-vous le soir, avant une épreuve ou dans la vie de tous les jours, et forcez-vous à vraiment prendre le temps de respirer lorsque vous vous exprimez.

Posez-vous...

... bien droit sur votre chaise ou bien équilibré sur vos deux jambes si vous êtes debout, conseille Anne. La tête droite, le regard direct et franc. Ne regardez surtout pas vos pieds, ils n'ont pas la réponse !
Cela peut paraître étonnant, mais c'est votre position qui détermine votre respiration et donc la bonne expression de vos pensées. Plus vous prendrez le temps, plus vous focaliserez l'attention sur votre discours, ce qui, en théorie, devrait vous donner confiance.
Pensez aussi à sourire, même si à l'intérieur vous bouillonnez. Une fois maîtrisé, votre stress se transformera en énergie communicative. Énergie qui vous permettra de vous surpasser.
Enfin sachez que plus vous vous confronterez à cet exercice, plus vous serez à l'aise, insiste la professeure d'anglais. Il n'y a pas de mystère, cela se travaille !
  

Louis-Antoine d’Artois (né le 6 août 1775 à Versailles, France, et mort à Görz, Autriche — actuellement Nova Gorica (Slovénie) — le 3 juin 1844 à l’âge de 68 ans), duc d’Angoulême (1775-1824), devenu Louis-Antoine de France, dauphin de France (1824-1830), puis Louis de France est un prince de la maison royale de France, fils de Charles-Philippe de France, ce dernier étant comte d'Artois et le futur roi Charles X, et de Marie-Thérèse de Savoie.
Lors des événements de la révolution de Juillet (1830), il a été un très éphémère roi de France durant vingt minutes très exactement, sous le nom de « Louis XIX » entre l’abdication de son père Charles X et la sienne en faveur de son neveu Henri d'Artois, nonobstant le principe d’indisponibilité de la Couronne de France. Il s’exile avec le titre de courtoisie de « comte de Marnes » et devient l’aîné des Capétiens et « chef de la maison de France » à la mort de son père jusqu’à la sienne (1836-1844). (wiki)

-          La première femme ministre au gouvernement britannique
Margaret Grace Bondfield (née le 17 mars 1873 à Chard (Somerset) en Angleterre et morte le 16 juin 1953 dans le village de Sanderstead (en) dans le Surrey) est une femme politique et syndicaliste britannique. Elle est la première femme à avoir été nommée ministre au gouvernement britannique, en 1929. (wiki)
-          Le phénomène du membre fantôme

Le terme membre fantôme désigne la sensation qu'un membre (même un organe, comme l'appendice) amputé ou manquant est toujours relié au corps et interagit bien avec d'autres parties du corps.Deux amputés de guerre sur trois rapportent cette sensation. Approximativement 60 à 80 % des individus ayant fait l'expérience d'une amputation ressentent cette sensation, et la majorité de ces sensations sont douloureuses. (wiki)

-          Le jeûne aide à lutter contre le cancer !

D’après les scientifiques, les patients à jeun atteints d’un cancer qui subissent un traitement de chimiothérapie, connaissent un meilleur résultat avec moins d’effets secondaires, soit nettement plus efficace que la chimiothérapie seule.
En effet, au cours du jeûne la cellule cancéreuse tente de compenser l’absence du glucose qui manque dans le sang, elle essaie de le remplacer, mais elle ne peut pas, contrairement aux cellules saines qui sont capables de résister à l’absence du glucose. Ce qui engendre la mort des cellules cancéreuses. (www.lesaviezvous.net)

 

-          Le prénom d’une fillette devenu un symbole du luxe automobile

En 1899, Emil Jellinek, un commerçant autrichien vivant à Nice, participait à de nombreuses compétitions automobiles. Exigeant quant à la vitesse, il avait commandé plusieurs modèles de voitures au constructeur allemand Daimler-Motoren-Gesellshaft.
Le commerçant et DMG signèrent bientôt une convention de vente pour des voitures équipées d’un nouveau moteur. Ce moteur fut baptisé du pseudonyme utilisé par Jellinek lors des courses, qui n’était autre que le prénom de sa jeune fille, Mercedes, signifiant « grâce » en espagnol.
La marque Mercedes fut déposée en 1903 par DMG. Emil Jellinek changea même son nom pour Jellinek-Mercedes !  (www.anecdote-du-jour.com)

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